- Je puise l'air dans un pays fictif
Je puise l'air dans un pays fictif
D'après Paul Claudel
Sur une plaque de polystyrène sont inscrits les quelques mots d'un haïku de Claudel qui, selon la tradition japonaise, étaient initialement destinés à figurer sur un éventail. Sur ce plan est également posée une petite habitation très simple, comme une cellule.
Suspendu très haut dans le plafond, cet ensemble est périodiquement lâché et tombe en virevoltant. Il tombe et se pose délicatement sur les tubes verticaux placés au sol. À force de tomber, il se détruit peu à peu.